Guitare Furch - "Vintage 2" OM-SR - Slotted

21 janvier 2021

C'est la date d'anniversaire de ma guitare Furch "Vintage 2" OM-SR slotted. (Tête creuse).
Cet instrument est sortit d'usine le 21 janvier 2020. Il fête aujourd'hui sa première année.
Et une année ça se fête. Elle mérite bien une petite chronique pour marquer cet évènement.
Tous les jours c'est un réel plaisir de la faire vibrer contre moi. Et quelle douceur délicate !
Son manche est une "autoroute". L'aisance et l'accroche sont indescriptibles. C'est étonnant.



J'ai contrôlé son accordage ce matin avec le Korg TM-50. C'était descendue de quatre dixièmes.
La dernière fois que je l'ai accordé c'était au début du mois de décembre. Au LA 440 bien sûr.  
Je suis bluffé par cette tenue exceptionnelle alors que l'humidité est très basse dans l'atelier.
Il faut dire que lorsque la guitare ne joue pas, elle est bien rangée dans son étui. Humidifiée.
Je tente bien de maintenir la grande pièce au moins à 40 %. Mais c'est souvent un vrai défi.



Le 15 janvier 2021 cela faisait déjà trois mois que je l'avais ramené à la maison. Tempus Fugit.
Je l'ai travaillé tous les jours plus de deux heures. Les gammes et la révision de mes répertoires.
De la composition aussi. Et ça c'est un bonheur. La sonorité qui se bonifie de manière perceptible.  
C'est la première fois que je possède une guitare dont la corde de Ré est une des cordes "Basses".
En effet, cette guitare a des basses exceptionnellement "caverneuses". Comme je les apprécie.



Cette corde de Ré, jusqu'à la cinquième case, reste dans le registre des vraies basses. C'est superbe.
Ce n'est qu'à partir de cette cinquième case que cette corde se met à sonner dans le registre médium.
Ce qui constitue évidemment un régal pour le jeu en picking pour lequel elle a d'ailleurs été conçue.
Il y a l'esthétique aussi. Comme elle est belle revêtue de son vernis qui lui donne une allure ancienne.
Je me rends compte qu'avec l'âge j'accorde de plus en plus d'importance à l'esthétique de la guitare.

Furch a de très beaux bois, le logo est joli et c'est vraiment sérieux comme marque.
j'ai beaucoup aimé mon OM23 , les finitions sont au top

Les accordeurs

Ils sont légions. Ils se retrouvent sous quantité de marques, de formes et de dimensions.
Ceux qui se pincent sur la tête de l'instrument. Ceux qui se posent devant nous sur la table.
Ceux qui clignotent. Ceux qui émettent un signal sonore. Et même ceux qui se téléchargent.
Toutes ces déclinaisons n'ont qu'une seule et unique fonction. Celle d'accorder nos guitares.

Jusqu'en 2005 j'ai toujours accordé mes guitares avec un diapason à branches, en métal.
Ce La 440 que je trouve parfait à l'harmonique de la 12ème frette au dessus de la corde La.
Avec la parfaite concordance de ces deux harmoniques, je peux trouver la justesse absolue.
Puis, je fais à l'ancienne. J'accorde les cordes suivantes par leurs 5 ème et 4 ème cases.  



Lorsque je change les cordes, lorsque je contrôle l'accordage, j'utilise alors l'électronique.
Cela permet d'ajuster à la fréquence souhaitée. C'est donc hyper juste. Mathématiquement.
Comme on s'en rend compte sur la photo, je n'utilise que Korg. Je ne touche aucune royaltie.
Quand je fais sonner les accords majeurs sur toute la longueur du fingerboard, c'est nickel.

Mais voilà, pour le vieux perfectionniste ronchon et chafouin que je suis, ça ne suffit pas.
J'en suis à contrôler la justesse de tous mes accordeurs Korg avec le diapason à branches.
Si ! Voilà ce qui vous attend les jeunots. Avec l'âge on ne se fie plus qu'à ces vieux organes.
Puis, pour parachever l'accordage, je peaufine chaque corde à mon oreille. Là, c'est parfait !

Il y a toutefois une exception. C'est pour les accordages en open que je me fie à l'électronique.
Tout particulièrement pour le DADGAD dont la tension des cordes est considérablement moindre.
Pour le Slack key également, (DGDGBD). Ces accordages vibrent à des fréquences plus basses.
Les cordes sont donc beaucoup moins tendues. Leurs justesses évidemment plus aléatoires.
Pour remédier à ce problème cornélien j'utilise des tirants médiums afin de garder la justesse.

L'accordeur électronique a ses limites, notamment sur les mi grave a vide et fretté, la diamètre de la corde et sa hauteur par rapport aux frettes amenant quelques variations. Bref, se fier à ses oreilles le plus souvent possible  
Un diapason et un petit accordeur à pince sont donc bien suffisants à mon avis. J'en ai d'ailleurs trouvé un dans la rue près de chez moi, il devait sans doute m'attendre!

Déjà cinq mois

Voilà cinq mois que cette guitare époustouflante est arrivée. Et sa présence est un bonheur.
Je dois l'avouer. Je suis devenu très volage avec mes autres guitares. Je suis infidèle et ingrat.
C'est que je me contente d'ouvrir les étuis afin de mouiller les éponges et vérifier les tenues.
Sinon, je passe deux à trois heures chaque jour, et même le dimanche avec ma petite Furch.



Les cordes Elixir 12/53 d'origine continuent de sonner "graves". Comme je les aime.
J'aime ce côté velouté et surtout ce touché très particulier sur le fingerboard en ébène.
Il y a quelque chose d'indéfinissable dans ce touché, dans ce contact et ces réponses.
Certes, la réactivité est extraordinaire. Mais c'est tout un ensemble. Toute la guitare.



Je me surprends d'ailleurs à la regarder entre deux exercices. A la tourner pour la scruter.
La beauté des bois, leur qualité invraisemblable, la finition, tous ces détails me subjuguent.
Puis l'enchantement perdure lorsque je la sens vibrer de tous ces fibres avec tant de force.
Car sa puissance, profonde, harmonieuse sous tous les accords, est un autre envoûtement.

Quelques échanges de matériaux

Voilà exactement six mois, aujourd'hui jeudi 15 avril 2021, que ma guitare Furch est arrivée chez moi.
Il devait y avoir un voyage organisé avec un revendeur allemand pour aller visiter l'usine ce mois-ci.
Bien évidemment, pour cause de "crise sanitaire", ce voyage est reporté à une date ultérieure. Tant pis.
Je vais marquer ces six mois de compagnie fort agréable par quelques petites transformations simples.



J'ai taillé un nouveau sillet de chevalet dans un parallélépipède d'os, (du fémur de bœuf) et aux dimensions.
J'ai tout simplement réalisé une copie conforme du sillet d'origine en tusq. Le tusq est un polymère organique.
Opération relativement facile si on est attentionné, minutieux, méticuleux et que l'on se contente de copier.
Puis, une fois taillé et sculpté, je lui ai imposé un bain d'une demi-heure dans une décoction de thé vert.



Ce qui donne à l'os blanc cette couleur "vintage" du plus bel effet sans lui retirer ses qualités initiales.
J'ai déjà réalisé cette opération en infligeant au sillet une cuisson avec des lentilles vertes, une heure.
Que l'on se rassure. Les lentilles étaient délicieuses. Le sillet avait pris une très belle teinte "vintage".
Il me reste maintenant à mettre ce sillet à la hauteur sur une feuille de papier à poncer à grains fins.



Je vais procéder à la même opération en ce qui concerne le sillet du haut du manche qui est déjà teinté.
Là, c'est une autre paire de manche. Je possède les tous meilleurs outils d'un luthier chevronné. Parfaits.
Une copie conforme du sillet original, lui aussi en tusq. Puis je ferai l'expérience des épingles de chevalet.
Des épingles en os. Des épingles en corne de buffle. En remplacement des épingles en ébène d'origine.

Bien évidemment, si le résultat n'était pas conforme à mes attentes, je reviendrai à la formule originelle.
Car la guitare est déjà fabuleuse. En six mois, je n'ai jamais assisté à une telle bonification. C'est irréelle.
<< Mais alors pourquoi donc changer une formule gagnante ? >> demandera légitimement notre lecteur.
Parce que j'aime "bricoler" mes guitares. Nous autres guitaristes nous aimons l'illusion des chimères...

Finement taillé ce sillet avec une belle teinte, joli travail de patience.....

faut s'occuper pendant le confinement!!

remy a écrit:Finement taillé ce sillet avec une belle teinte, joli travail de patience.....

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Merci Remy

Depuis quelques années, je prends beaucoup de plaisir à regarder des vidéos de lutherie.
Sur Youtube, il y a pléthores de films qui traitent de tout ce qui concerne les guitares.
Quasiment toutes sont passionnantes. Particulièrement celles qui traitent de restaurations.
D'entendre le luthier soliloquer tout en procédant à des réparations est souvent captivant.

Dans mes jeunes années, je suis passé à côté de ce glorieux artisanat. Je le regrette hélas.
Je suis assez doué pour les choses minutieuses, méticuleuses. Je suis adroit de mes mains.
Au milieu des années 70 j'allais visiter Levingson, luthier à Bâle. Depuis longtemps en retraite.
J'aimais l'odeur du bois exotiques et précieux, des colles d'os et des colles de peau. Des vernis.

Je n'ai pas peur d'entreprendre de petites réparations, de petites rectifications. C'est passionnant.
Bien évidemment, il faut savoir jouer avec la part de risques. De la prudence et tout se passe bien.
Avec de petites transformations il n'y a quasiment jamais aucun danger. On peu revenir en arrière.
Je m'y connais quelque peu en marqueterie fine. Je vais peut-être tenter les incrustations d'abalone.

Là, j'ai tenté deux différentes épingles de chevalet. Aucune ne m'a vraiment convaincu.
Les épingles en os, (fémur de bœuf), donnent une sonorité "claquante" peu harmonieuse.
Les épingles en cornes de bœuf semblent supprimer des basses et le cristallin des aigus.
J'ai donc gentiment remis les épingles d'origine en ébène. Parfaites et très équilibrées.

Salut Jo. Gary Levinson n'est pas tout à fait à la retraite. Il a toujours sa marque dont les guitares sont aujourd'hui fabriquées à en Asie. Mais se sont de très bonnes guitares qui n'ont rien à envier à certaines grandes marques. Ma LJ24VS était très bien.

http://levinsonguitars.com/guitars/acoustics/lj-medina/lj-24vs/

Damoclès a écrit:Salut Jo. Gary Levinson n'est pas tout à fait à la retraite. Il a toujours sa marque dont les guitares sont aujourd'hui fabriquées à en Asie. Mais se sont de très bonnes guitares qui n'ont rien à envier à certaines grandes marques. Ma LJ24VS était très bien.

http://levinsonguitars.com/guitars/acoustics/lj-medina/lj-24vs/

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Merci "Damocles"

Cette information me fait vraiment grand plaisir. J'ai passé tellement de bon temps là-bas.
Mais, il doit vraiment être très vieux aujourd'hui. Peut-être est-ce son fils qui a pris le relai.

Je vais tenter d'en savoir davantage...

Bravo joel de nous faire parvenir ces transformations, pour ma part je suis patient et bricoleur mais pas dans ce domaine et de plus pas de materiel pour,
Tu nous donnera  prochainement des nouvelles je pense si il ya du meilleur....je le pense pour les " épingles" comme tu le dis si bien moi je reste sur le terme Chevilles comme tout bon charpentier et ébèniste  Veux tu nous subjuguer par tes connaissances ? ( je blague bien sur )
Au plaisir

Merci "ChrisDobrix"

Je viens de retirer ce dimanche matin du 18 avril 2021, le sillet en os du chevalet.
Au profit du sillet en tusq d'origine. Un changement qui a pris quelques minutes.
Les luthiers de chez Furch savent bien mieux que moi ce qu'il faut pour leurs guitares.
Mes connaissances empiriques et mes expérimentations m'ont amusé une nouvelle fois.



Il y a encore les traces des mesures prisent pour confectionner le sillet os. Je vais effacer.

Je ne joue qu'aux doigts sur cette guitare, ainsi que sur la plupart des autres d'ailleurs.
Si je devais jouer avec un plectre, un sillet en os se justifierait peut-être bien davantage.
Quoi que les Dreadnought Furch sont toutes équipées du même sillet de chevalet en tusq.
Ce qui s'applique sur mes guitares Martin, ne s'applique pas sur ma guitare Furch.  

J'ai donc retrouvé cette sonorité de velours, délicieusement organique et boisée.
La réactivité de cet instrument n'est pas seulement remarquable mais extraordinaire.
Furch précise utiliser une technique particulière pour sécher ses bois plusieurs années.
Probablement une sorte de torréfaction naturelle pour optimiser les qualités des matériaux.

Ha, les Furch... J'ai du en avoir 5 ou 6.
De bonnes guitares.
J'ai tout de même eu un problème de renversement de manche expertisé par Rosyne C. et un chevalet fendu.

2 graves problèmes sur 5 ou 6 instruments, cela jette le doute justement sur le fait que ce soit de bonnes guitares, du moins niveau construction.
30 à 40 % qu'ànd même, ce n'est pas anodin.

Les cordes

Vaste sujet. Sur cette guitare tout à fait exceptionnelle, j'ai testé plusieurs marques.
D'origine, le constructeur monte les cordes Elixir phosphore-bronze Nanoweb 12/53.
Sur mes Martin, ces cordes ne me donnent pas réellement satisfaction. A l'oreille...
Alors que sur cette merveilleuse petite Furch, elles semblent absolument parfaites.



Depuis le 15 octobre 2020, tous les quinze jours, ce fut un incessant test de cordes.
Je crois avoir essayé la quasi totalité des cordes existantes sur le marché. Ou presque.
J'ai raté mon coup avec les fameuses Cordes Titanium Core de chez Martin & Cie.
Je voulais les tester sur mon OM 28. Je ne les ai gardé que 24 heures sur Furch. Foutues !

En fait, les cordes, même si c'est une affaire purement personnelle, restent une interrogation.
Je suis revenu à Elixir. Après moulte tentatives, moulte réflexions, ces cordes sont The Must.
Ce sont les meilleures cordes à mon oreille. Les plus adaptées au modèle OM-SR "Vintage 2".
Par contre, ma préférence va aux cordes "Bronze" 80/20. Elles m'offrent plus de profondeur.

Même si cette petite merveille est déjà dans le registre des graves dignes d'une Dreadnought.
Même si ces cordes Elixir Bronze 80/20 rajoutent encore dans les registres graves, c'est bonheur.
J'apprécie ces sonorités veloutées, boisées. Furch recommande d'ailleurs les cordes enrobées.
Elles ne s'encrassent quasiment jamais tout en préservant ainsi le bel ébène noir de la touche.

phil2759 a écrit:2 graves problèmes sur 5 ou 6 instruments, cela jette le doute justement sur le fait que ce soit de bonnes guitares, du moins niveau construction.
30 à 40 % qu'ànd même, ce n'est pas anodin.

Ce n’est pas forcément révélateur, un autre a pu en avoir 5 qui étaient excellentes ......
Je connais cette marque depuis plus de 25 ans à une époque où il n’y avait pas de distributeur en France.
Je n’ai jamais entendu de retours négatifs de cette marque. Le souci principal c’est qu’elles ne supportaient pas de tirant médium et il y avait des dégâts quand on ne s’avait pas......

remy a écrit:

phil2759 a écrit:2 graves problèmes sur 5 ou 6 instruments, cela jette le doute justement sur le fait que ce soit de bonnes guitares, du moins niveau construction.
30 à 40 % qu'ànd même, ce n'est pas anodin.

Ce n’est pas forcément révélateur, un autre a pu en avoir 5 qui étaient excellentes ......
Je connais cette marque depuis plus de 25 ans à une époque où il n’y avait pas de distributeur en France.
Je n’ai jamais entendu de retours négatifs de cette marque. Le souci principal c’est qu’elles ne supportaient pas de tirant médium et il y avait des dégâts quand on ne s’avait pas......

bien sur Rémy... je ne faisais qu'une remarque, 2 sur 6, c'est beaucoup pour déclarer qu'elles sont excellentes, du moins en construction. Je trouve moi aussi ces Furch très jolies et je pourrais sans problème en acheter une...

Entretien de la guitare

En ce premier mai 2021, la météo est tellement médiocre qu'il faut trouver un peu d'optimisme.
Ne serait-ce pas la journée idéale pour procéder à un peu d'entretien et à un peu de nettoyage ?
J'ai donc décidé de nettoyer la touche de ma merveilleuse petite Furch dont je ne me lasse pas.
Dans le kit cylindrique, un petit outil qui n'est pas sans évoquer une brosse à dents. Poils souples.



Un petit bidon contenant de l'huile de lin raffinée. Un chiffon légèrement abrasif. Très délicat.
Comme je le fais d'habitude, je nettoie d'abord la touche avec un médiator souple en nylon.
Ce plectre épouse parfaitement les reliefs sans risquer de blesser l'ébène noir de Macassar.
J'applique l'huile de lin. Je laisse pénétrer quelques minutes ce liquide fluide et translucide.



Pendant ce court laps de temps, à peine quelques minutes, je nettoie le chevalet. Un peu d'huile.
Je vérifie la tenue de chaque pin en ébène. Tout est parfaitement en ordre et fonctionnel. Le "top".
J'essuie alors l'excédent d'huile de lin avec un chiffon doux . Comme la touche est belle ! Superbe.
Il me reste à monter le nouveau jeu de cordes. J'opte pour les cordes qui lui correspondent le mieux.



Je n'ai même pas à vérifier la rectitude du manche. Avec ce trussrod, il lui serait impossible de bouger.
Un trussrod "double action" enfermé dans un tube en carbone emplit de silicone. Aucune vibration !
Assurant plus de 90 % de rigidité supplémentaire à un trussrod "classique". Avec moins de poids.
Ma Guitare Furch ne pèse que 1935 gr. Certes ma Martin OM 28, elle, ne pèse que 1915 grammes.

Me voilà avec un fingerboard propre, poli, noir où les doigts se meuvent comme sur du beurre Breton.
Me voilà avec ces cordes "Bronze", 12/53 Nanoweb, qui vont me durer jusqu'au premier octobre. Bien.
Même avec les deux heures quotidiennes que je leurs impose, ces cordes sont d'une durabilité inouïe.
Il faut dire que j'ai peu de sudation. J'essuie toujours soigneusement les cordes après les avoir joué.

C'est reparti pour un tour...



NOTE - (Un peu de lyrisme)
2,1 millimètres au dessus de la 12 ème frette pour la corde de mi grave.
1,9 millimètre au dessus de la 12 ème frette pour la corde de Mi aigüe.
Et ça sonne comme une dreadnought devenue folle sous des doigts fous.
Pour un format qui se love dans les bras du guitariste telle une maîtresse.

Bonsoir Joel,
Pour ma part, sur la touche "decrassage avec du savon noir et petite éponge lègerement humidifiée, on laisse secher.. ( tout comme toi parfois le long des frettes au média) , puis une fois seche de l'huile de citron et c'est un regal de la reprendre en main, avec de nouvelles cordes biensur !
Et un réel plaisir de la jouer ( OM 28 VR )
Et vous tous comment vous les bichonées ??

ChrisDobrix a écrit:Bonsoir Joel,
Pour ma part, sur la touche "decrassage avec du savon noir et petite éponge lègerement humidifiée, on laisse secher.. ( tout comme toi parfois le long des frettes au média) , puis une fois seche de l'huile de citron et c'est un regal de la reprendre en main, avec de nouvelles cordes biensur !
Et un réel plaisir de la jouer ( OM 28 VR )
Et vous tous comment vous les bichonées ??

Comme Joël, huile de lin

remy a écrit:

ChrisDobrix a écrit:Bonsoir Joel,
Pour ma part, sur la touche "decrassage avec du savon noir et petite éponge lègerement humidifiée, on laisse secher.. ( tout comme toi parfois le long des frettes au média) , puis une fois seche de l'huile de citron et c'est un regal de la reprendre en main, avec de nouvelles cordes biensur !
Et un réel plaisir de la jouer ( OM 28 VR )
Et vous tous comment vous les bichonées ??

Comme Joël, huile de lin

J'utilise de l'huile de citron , par contre je ne sais pas si c'est mieux ou moins bien que l'huile de lin ...
Je gratte avant un peu la touche avec un petit morceau de bois plus tendre ( un peu comme un médiator ) et je frotte avec un vieux torchon en coton épais pour fignoler

didier13 a écrit:

J'utilise de l'huile de citron , par contre je ne sais pas si c'est mieux ou moins bien que l'huile de lin ...

Je gratte avant un peu la touche avec un petit morceau de bois plus tendre ( un peu comme un médiator ) et je frotte avec un vieux torchon en coton épais pour fignoler

Huile de citron 65 Dunlop.

didier13 a écrit:

remy a écrit:

ChrisDobrix a écrit:Bonsoir Joel,
Pour ma part, sur la touche "decrassage avec du savon noir et petite éponge lègerement humidifiée, on laisse secher.. ( tout comme toi parfois le long des frettes au média) , puis une fois seche de l'huile de citron et c'est un regal de la reprendre en main, avec de nouvelles cordes biensur !
Et un réel plaisir de la jouer ( OM 28 VR )
Et vous tous comment vous les bichonées ??

Comme Joël, huile de lin

J'utilise de l'huile de citron , par contre je ne sais pas si c'est mieux ou moins bien que l'huile de lin ...
Je gratte avant un peu la touche avec un petit morceau de bois plus tendre ( un peu comme un médiator ) et je frotte avec un vieux torchon en coton épais pour fignoler

Mieux ou pas, ce sont deux produits bien différents car cette huile de citron n’en a que le nom. C’est un solvant donc plus une essence qu’une huile.
A ce prix là c’est logique car une véritable huile ou extrait de citron coûte une fortune......

remy a écrit:

Mieux ou pas, ce sont deux produits bien différents car cette huile de citron n’en a que le nom. C’est un solvant donc plus une essence qu’une huile.
A ce prix là c’est logique car une véritable huile ou extrait de citron coûte une fortune......

Donc c'est peut être mieux l'huile de lin non ?